Des ruelles minuscules sculptées dans l'absolu
Des murs en biscuit brun et des portes en nougat
Pour une portion de conte de fée
Il n'y a qu'à tendre les bras
Mais je sais que tu voudrais voir derrière,
Soulever le rideau retourner les sourires
Comme à la fin du Truman Show
Quand le ciel se déchire
Gratter du bout des doigts sous des strates filandreuses
Des couches épaisses, poreuses,
D'une réalité insomniaque et danseuse
Gratter d'un ongle distrait ce qui sépare
L'intérieur de l'extérieur et qui ne mesure
Que quelques millimètres
Parce que c'est vrai, tu as raison
De préférer l'immensité du Cosmos Lumineux
A la petitesse des sapins de Noël.
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