Il y a dans ses organes des étoiles machouillées,
qui persistent à briller.
Il y a dans ses oreilles la connection d'un monde,
plus petit que le votre, et plus joli bien sur.
Il y a dans ses cheveux,
des revolvers chargés de rouge, de bleu, de vert.
Des munitions primaires.
Il y a derrière son front l'infinie des tristesses,
la plage des enfants morts, de n'avoir jamais pu
embrasser sur la bouche l'ami imaginaire.
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